En fin d'après-midi, Moussa me propose un fruit, qu'il nomme zaban, en me demandant si je connaissais. Comme d'habitude, je consulte Google, et trouve que cela s'appelle aussi Saba senegalensis, ou madd.
Avant dégustation, je prends quelques clichés. Ce qui amuse beaucoup la femme de ménage. (On voit bien ici la perle de latex qui sort de la cicatrice faite en enlevant la queue)
On ouvre la zamba, un peu comme un oeuf à la coque, puis on sort toute la pulpe de l'intérieur pour la déposer dans une petite coupe où l'on déguste avec un peu de sucre pour en atténuer l'amertume. Moi, évidemment, je l'ai goûté sans sucre ! (comme le thé).
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