Etant parti suffisamment tôt de la maison, j'ai réussi à enregistrer mes bagages, enlever ma ceinture et la remettre avant 14:15. Je peux donc flâner en attendant l'heure de l'embarquement, prévue pour 16:00. Il y a peu de boutiques dans cette extension du terminal 2E, à laquelle on accède par le mini-train. A 15:05, je prends un rafraîchissement.
Enfin, nous sommes conviés à embarquer. Dans le fond de l'avion, quelques rangées de sièges sont réservées pour des passagers qui n'ont pas effectué les formalités habituelles. Ils ont été amenés par des minibus marqués "Police" et "Gendarmerie" jusqu'à un escalier connecté à la porte arrière de l'avion. L'un de ces passagers semblait ne pas avoir envie de partir. Il a même pleuré. puis on a entendu "Je n'ai rien fait de mal..." ou encore "nos grands-pères ont fait la guerre dans l'armée française"...
Puis l'avion a décollé, avec beaucoup de sièges vides. Dîner anticipé entre 17:30 et 18:00. Quelques sites reconnus : Sancerre, Leucate, Majorque, Alger, puis le désert, et des nuages, et quelques turbulences. La nuit tombe. La lune est pleine.
Arrivée à Bamako. L'avion s'arrête devant l'aérogare. Il faut traverser le tarmac sur une distance de 30 m (c'est moins que la place des Victoires). Heureusement, un bus climatisé nous emmène. Formalités d'arrivée. Sortie.
J'observe les pancartes. Aucune ne me concerne. Mais quelqu'un m'interpelle. C'est Mr Abdoulaye Touré, qui m'a reconnu grâce à ma photo de 2003, que j'avais mise sur mon CV.
En passant, petit coup d'oeil à l'hippopotame, bien à l'abri dans sa moustiquaire.
En passant, petit coup d'oeil à l'hippopotame, bien à l'abri dans sa moustiquaire.
Ce soir, ma chambre dans la résidence n'est pas disponible. Je dormirai donc au Lycée. Je visite rapidement, puis nous allons dîner à la Vieille Marmite, un restaurant du voisinage.
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